Sommaire: Le festival Open Source Body en détails, en portraits et en ateliers;
accusée fabrication collaborative, levez-vous; créer ses cigales et fourmis électroniques; le CES 2018 en 400 pages.
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Open Source Body à corps ouvert
Performance à la Gaîté lyrique. © Makery
Et voilà, c'est fini! Retour sur le festival Makery à la Paillasse et à la Gaîté lyrique, où pour la première fois en France, les acteurs du matériel open source pour la santé se sont rencontrés et confrontés au public.
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Ils ont fait Open Source Body
Guy Aidelberg. © Makery
D'Israël, d'Espagne, des Pays-Bas, de Russie, d'Italie et de France, ils ont participé à Open Source Body pour défendre leur vision du matériel pour une science ouverte. Portraits.
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Du son et de la friction art-science au festival Open Source Body
Atelier Open Source Body. © Makery
Drôle d'alchimie et drôles de machines au sommaire des ateliers Open Source Body. Le matériel ouvert pour la santé y est disséqué et hacké, de l'écho-stéthoscope sonifié au thermocycleur «perturbé».
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A Montréal, au procès de la fabrication collaborative
Glass Fablab en Lorraine. © Makery
La société gagne-t-elle à se réapproprier la technologie? Alexandre Berkesse, spécialiste des mouvements de transformation sociale, était témoin au «procès» organisé par OuiShare à Montréal. Récit.
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CES 2018: Olivier Ezratty au rapport!
© DR
Pour tous ceux qui n'ont pas fait le déplacement au Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas, le spécialiste en innovation Olivier Ezratty met en ligne son rapport des grandes tendances 2018.
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Plus on est de fous, plus on MAKERY…
On y prend goût ! A peine remise de son premier événement grand public IRL, Open Source Body, dont on vous dit tout (ou presque…) cette semaine, l'équipe de Makery est à nouveau sur le pont avec l'événement « Nous ne sommes pas le nombre que nous croyons être » à la Cité internationale des arts, les 2 et 3 février pour « imaginer demain ». Ewen Chardronnet, en charge du medialab Makery, coordonne le très dense programme consacré aux travaux du réseau ArtLabo tandis qu'Annick Rivoire, rédactrice en chef, participera à la table ronde « Éditer une revue Arts & Sciences aujourd'hui » (le 2/02 à 20h40). Et ce n'est pas fini ! On vous donne aussi rendez-vous le 22 février à la Gaîté lyrique à Paris pour MakeryMedialab #3, notre cycle de rencontres qui aura cette fois-ci pour thématique « Que partage-t-on dans les fablabs ? » Pour en discuter, l'anthropologue du design Jean-Baptiste Labrune, le cofondateur de l'association nantaise Ping et la chercheuse Constance Garnier, historique du mouvement maker français. Et tout ça, évidemment est gratuit !
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Marseille
> 13 février
La sextech à l’heure de la blockchain
Les hashtags du moment sont convoqués : la conférence « La sextech à l’heure de la blockchain » aborde la question de la sécurisation des données dans le contexte des technologies pour le plaisir (« sextech » en vocabulaire start-up nation). C'est l’incubateur Belle de Mai à Marseille qui propose cette thématique une veille de Saint-Valentin, arguant qu'il faudrait que « les influenceurs, les investisseurs, les entrepreneurs, etc., se rendent compte que la sextech vaut le coup d’être reconnue comme un secteur à part entière ». Les experts sont convoqués, dont Christel Le Coq, fondatrice des livres érotiques connectés B.Sensory, et Tatiana Escobar de la société Elvie et son objet connecté de rééducation du périnée. Au menu de la conférence, la protection des objets connectés en Bluetooth grâce à la blockchain, du nom de cette techno qui révolutionne l'infrastructure de l'Internet, et qu'on connaît pour son rôle derrière les cryptomonnaies de type Bitcoin, la digisexualisation, ou le rôle des innovations (de l’Internet à l’intelligence artificielle) dans la transformation de l’industrie du sexe. Gratuit sur inscription.
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New York
> 5 février
Appel à expo chez Babycastles
« Envoyez-nous vos rêves les plus fous ! » lancent les Babycastles dans leur appel à projets d’expositions pour la saison 2018. Si vous avez toujours rêvé d’exposer à New York, le fameux collectif de jeux indés est ouvert aux propositions pour occuper les 83m3 de sa galerie-arcade dans la 14ème rue, en plein cœur de downtown Manhattan. Evidemment, si vous avez une affinité pour la culture du jeu vidéo et une vision inclusive des jeux vidéo indépendants, participatifs et DiY, c’est mieux… Mais les Babycastles se disent ouverts à toutes sortes de collaborations artistiques et sont prêts à accueillir des événements en tout genre en fournissant si besoin un support matériel, technique, humain, etc. Ils peuvent aussi installer des jeux dans leurs bornes d’arcade iconiques qui accompagneraient votre expo dans l’espace partagé. La galerie comprend six bornes maison et accueille des expos pour une durée comprise entre deux semaines et deux mois. Pour se faire une petite idée de la programmation passée, c'est par ici. Il suffit de remplir un formulaire en ligne pour envoyer sa proposition jusqu’au 5 février 2018.
En savoir plus sur Babycastles et répondre à l'appel à expo
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